Du 26 novembre 2014 à Avril 2015, l’artiste décalé Jeff Koons exposera au centre Pompidou à Paris. Cela va nous donner l’occasion de rentrer dans l’univers de ce créateur pour le moins Original. Vous ne le connaissez pas ? Allez, je vous fais les points à savoir pour votre prochain débat culturel.
Mais qui est James Koon ?
Cet été, le Whitney Museum of American Art fut le premier à s’investir pour présenter la première rétrospective consacrée à l’illustre et parfois sulfureuse carrière de Jeff Koons. Cet artiste a passé des décennies à repousser les limites entre les produits de la consommation de masse et les standarts digne d’être dans les musées.
Sculptures fantaisistes surdimensionnées, Koons se plait à briser les limites traditionnelles du monde de l’art, puisant dans ses souvenirs d’enfance qui résonnent dans ses plus belle oeuvre. On y retrouve des piles de pâtes à modeler aux couleurs pop ou encore des animaux en ballon d’hélium brossés au point de créer une réflexion parfaite que Koons a pu modeler avec son génie non sans rappeler quelques clichés Instagram.
L’absence de préjugés ludique de l’exposition est entièrement volontaire. « Tout ce qui compte dans la vie et dans l’art, c’est l’interaction humaine« , a déclaré Koons à propos de son travail.
Des oeuvres décalés
Pour Jeff Koons, la rétrospective du Whitney a rassemblé près de 150 œuvres.Certaines empruntées à des grands collectionneurs du monde entier, pour remplir cet espace du musée de Madison Avenue une dernière fois avant qu’il ne déménage dans le « Meatpacking District ».
En suivant la carrière artistique de Koon en même temps que sa célébrité depuis 1978, l’exposition met en valeur ses oeuvres les plus emblématiques, y compris un réservoir recouvrant un ballon de basket planant mystérieusement, des jouets gonflables pour la piscine tournés en grand art, et la (tristement) célèbre statue dorée de Michael Jackson et son chimpanzé Bubbles. De quoi vous faire repenser l’utilisation d’un aspirateur ou la signification d’une décoration rose pour gâteau, Koons a dans l’idée de contester le quotidien avec une touche de kitsch et de l’esprit.
L’exposition comprend également « Split-Rocker », une sculpture qui reconstitue les jouets des enfants et a été faite en direct pour créer une sculpture de 37 mètres de haut, spécialement pour l’affichage public.
Après New-York et Paris, la rétrospective décalé de l’artiste ira vers en terre Espagnol au Musée de Bilbao.
« Mais qui est James Koon ? « … Bonne question, mais ce n’est pas le nom de l’artiste : )